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 Numéro Treize | Juzo Asuka

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Juzo Asuka

Juzo Asuka


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MessageSujet: Numéro Treize | Juzo Asuka   Numéro Treize | Juzo Asuka EmptySam 3 Aoû - 0:22



Juzo Asuka


Numéro Treize | Juzo Asuka 568046Treize






    Identité du Personnage


    Race : Race humaine.
    Sexe : Sexe féminin.
    Age : Dix-neuves années.
    Rang : Fullbringer.


    Caractère


    Tout d'abord, Juzo a des qualités ; comme toutes personnes vivantes. Douceâtre avec les gens qu'elle connait, la brune est de nature docile, posée et surtout très mature. C'est une jeune femme très intelligente et qui favorisera toujours le mental au physique ; car malheureusement Dame Nature n'a pas été très généreuse avec elle sur le plan de la force. Juzo est attentionnée et attentive, une bonne oreille à laquelle vous pouvez vous confier, qui saura vous répondre ou vous conseiller selon votre humeur. Secrète, elle paraît effacée, très discrète à tel point que parfois, elle ne se fait jamais remarquer. Pourtant, quand on la connaît un peu plus, notre protagoniste peut faire preuve de caractère, avec une certaine tendance à perdre vite patience et à devenir impulsive sous l'effet d'une trop forte tension émotionnelle. Souvent à fleur de peau, Juzo peut craquer du jour au lendemain, ayant une mauvaise habitude de ravaler toutes les choses négatives ou positives qu'elle a en elle, de peur de gêner. Elle se sous-estime un peu trop, et s'excuse tout le temps ; ce qui lui a déjà valu beaucoup de moqueries. Pourtant, quelques fois où son courage est aveugle, elle pourra tenir tête et affirmer sa position. Très enfantine, cette jeune femme a un peu de mal à quitter le monde douillet qu'était son enfance, terrifiée pour très peu, elle rappelle souvent une jeune enfant avec son visage rond et son large sourire doux. Très délicate, l'idée d'être le centre d'attention peut rapidement lui donner un malaise.
    En soit, Juzo est une petite fille au corps de jeune femme, mature et sincère mais impatiente et quelque peu renfermée.


    Physique


    Quand nos yeux se posent sur Juzo, notre regard est vite attiré par ses deux grands yeux d'un bleu glacial, tels deux icebergs coincés dans sa rétine. Ses deux yeux, qu'elle maquille souvent de noir, lui confie un air sage et doucereux. Son visage ovale, aux joues légèrement plus rondes que les femmes de son âge, possède des traits doux et rarement contrariés. De longs cheveux noirs, comme l'aile d'un corbeau, encadrent ce visage angélique. Souvent arrangés en une frange peu cohérente qui couvre son front, ses cheveux sont détachés ou alors coiffés en un chignon mal-fait. Niveau physique, elle est très fine ; sa maigreur est sûrement due à son végétalisme qu'elle entretient depuis son adolescence. Sinon, son corps correspond à son âge, un corps de jeune femme.
    Ensuite, pour le style vestimentaire, elle est très discrète. Une jupe grise et un gilet un peu trop grand pour elle, ouvert sur un t-shirt noir est sa tenue favorite. Elle porte une petite croix en argent autour de son cou, ainsi qu'une chaînette à sa cheville, sur laquelle est accroché un petit "13" abîmé.


    Test Rp/ Histoire du Personnage


    Juzo n’a pas une histoire hors-du-commun, ses parents ne sont pas morts dans un terrible accident de voiture, elle n’a pas été enlevée et entraînée au combat par un psychopathe. Non, Juzo est née dans une famille japonaise modeste, ni trop riche, ni trop pauvre et elle était aimée et chérie de ses parents. Ces derniers se sont rencontrés treize ans avant la naissance de leur fille, dans un supermarché. Eh oui, pas de grands couchés de soleil, de champagne dans la nuit ou même dans un club de strip-tease vulgaire. Non. Elle, elle était caissière, lui, il était venu faire ses courses. Les regards se sont croisés, une alchimie puissante s’en est dégagée puis ils se sont invités au restaurant, puis chez eux, pour finalement se marier un jeudi treize. Quelques mois après leur mariage, elle apprit sa grossesse et le couple n’en était que plus heureux. Neuf mois passèrent, et un soir, alors qu’il travaillait un peu plus tard, prenant ses précautions pour l’arrivée du bébé, elle était dans un fauteuil, devant son émission préférée. Son accouchement, prévue initialement pour la semaine prochaine, l’inquiétait un peu, mais charismatique, la femme en restait très heureuse. Elle passait chacune de ses mains sur son ventre à la peau tendue, tendre, guettant par moment quelques coups de pieds de son bébé. Elle gardait cet éternel sourire rêveur, accompli et fier sur le visage, tant que ses voisins disaient d’elle des choses des plus agréables.

    Mais, ce soir-là, elle n’avait pas fermé une des fenêtres de la petite maison en brique. Un courant d’air frais envahit la maison, puis un silence de mort. Le poste de télévision se brouilla, offrant à la place d’un baiser tant attendu dans le feuilleton, une sorte de neige noire et blanche. Elle râla de sa voix douce, se leva péniblement et se pencha pour tapoter énergiquement sur l’écran. Elle se redressa et sentit comme une opaque masse se lovait contre elle. Elle se retourna lentement, et s’esclaffa nerveusement de son appréhension quelque peu inutile. Elle se dirigea vers la cuisine, et remarqua que toutes les lumières étaient éteintes. Elle souffla, comme pour se détendre,  et appuya sur l’interrupteur. Pas de réaction. Elle appuya une seconde fois, mais toujours rien. Elle décida de s’avancer dans la pénombre et se pencha dans le réfrigérateur ; elle attrapa une bouteille de lait et s’en versa quelques gouttes dans un verre. Une fois le lait rangé, elle se déporta et partit en direction de la chambre à coucher. Mais elle sentit la présence de quelqu’un d’autres.  Elle se tourna et un masque d’os se trouva à quelque centimètre d’elle.

    Noir. Brouillon. Un souffle dans la nuit, puis un cri. Le verre heurta le sol, puis se brisa en mille morceaux, répandant du lait sur la moquette encore neuve. Juste avant que le monstre au masque osseux ne morde la femme, son mari arriva. Choqué par tant de sang, et de voir sa femme aussi mal, le hollow disparut, laissant le couple briser. Blessée gravement, la femme perdait les eaux, ainsi que beaucoup de sang. Conduite rapidement à l’hôpital, elle accoucha de la petite Juzo, qui fût conduite au service « Prématuré ». Le prénom (qui signifie treize) se décida, car sa naissance se déroula un treize, une année après leur mariage.
    Deux mois après la naissance de leur enfant, le père s’éteignit, couvert de regrets de n’avoir pas pu sauver plus vite sa femme, regrettant d’être rentré si tard du travail, animé par le remord de ne jamais connaître sa fille pleinement. Avant de mourir, il donna à sa fille endormie une drôle de petite poupée. Cette dernière était à l’effigie d’un homme, à la chevelure brune et pas très longue. Il avait deux oreilles de chat noires qui ressortaient de sa crinière, une petite clochette autour du cou ainsi qu’une longue queue noire de jais au niveau du bas de son dos. Il disait qu’il ressemblait à Juzo, mais version masculine, et lui confia que cette poupée deviendrait plus qu’un jouet. C’était sans se douter du réel destin de cette poupée.
    La petite fille eût une enfance douce, bonne élève à l’école, polie chez elle, Juzo était une enfant parfaite aux yeux de sa mère, veuve. Cette dernière la câlinait souvent, et jouait avec elle tant que ses os ne la faisaient pas souffrir. L’âge la rattrapait, et ils fatiguaient plus souvent.  Juzo vivait sans un père, tandis que les autres enfants vantaient la force de leur géniteur.

    Un jour de printemps, un treize, plus précisément, une douce odeur de gâteau au chocolat flottait dans la maison des Asuka. Puis une odeur de bougies, et enfin, une mélodie monta doucement dans le silence ambiant. Une chanson, chantée par plusieurs personnes, qui souhaiter à une personne un joyeux anniversaire.  Finalement, le prénom Juzo finit la chanson. Puis un souffle et au final, des applaudissements, des rires. Juzo avait seize ans depuis maintenant deux jours, mais sa mère avait insisté pour faire un petit repas familial. Elle avait invité son frère, sa femme et leurs deux enfants ainsi qu’une vieille dame, voisine depuis quelques années, qui faisait partie de la famille. S’étant prise d’affection pour Juzo, cette personne âgée avait tenu un rôle de grand-mère pour l’enfant. Les longs cheveux noirs de Juzo descendaient dans son dos, chutant sur ses reins. Son visage, encore enfantin, avait les traits tirés pour laisser place à un sourire radieux, contre elle, dans sa main, la petite poupée neko. Elle ne l’avait pas quitté depuis son acquisition, et elle éprouvait pour cette petite effigie une tendresse sans faille. Alors que la petite famille riait gaiement, en se remémorant des souvenirs de famille, comme la mère de Juzo qui était tombée dans un lac totalement habillée, ou encore son oncle courageux qui avait tenté de calmer un taureau. Le cousin de Juzo avait à peine huit ans, il était très gentil et poli, Juzo l’aimait bien. Mais, alors qu’ils parlaient dans une joie palpable, le petit garçon de huit ans tomba malencontreusement. Pas si grave, pour un enfant, mais il tomba près d’un coin de table. Le choc provoqua une onde, qui fit trembler le vase rempli de cactus qui trônait sur la table. Le pot tomba doucement sur le côté, et les cactus semblaient prêts à se déverser sur le petit.  Juzo se leva en hâte, et sans qualité de vitesse, jeta sa poupée contre la table. La poupée grandit instantanément, la petite queue de chat bougea, se balançant de droite à gauche, les oreilles bougèrent, les yeux de la poupée se révulsèrent, et les touts petits gants munis de griffes prirent la taille d’une main humaine. Plus grandes que la moyenne, ses mains et ses jambes avaient pris forme humaine. Son visage de poupée se transforma en un visage adulte, mature mais pourtant très doux. La grande « poupée » balança le cactus au loin et ramassa l’enfant qui pleurait. A la vue de cet être immense, le petit arrêta de pleurer pour laisser place à une expression d’horreur. Un cri résonna derrière ce chat-humain, la tante de Juzo avait hurlé avant de s’évanouir, son mari s’était précipité pour récupérer son vite, médisant cet être abominablement grand. La panique était présente, seule la mère de Juzo observait ce grand homme qu’elle connaissait sous forme de poupée depuis maintenant seize années. Elle s’assit, doucement et déposa son regard sur Juzo. Cette dernière, quelque peu impressionnée, cherchait une réponse dans les yeux de cette poupée géante. L’humain félin se retourna, se blottit contre Juzo comme il avait l’habitude de faire de sa forme poupée, et Juzo lui redonna sa forme initiale. Toutes deux choquées, elles se regardèrent puis se câlinèrent, doucement.

    Lors de cette étreinte, un cri perçant monta aux oreilles des deux femmes. Une voix familière, celle du père de Juzo. Puis une voix spectrale reprit le cri, accompagnant la voix du défunt père. Finalement, le silence retomba. Dans le cimetière, là où le père dormait d’un sommeil éternel, une âme était sortie du cercueil. Un trou se formait peu à peu dans la poitrine du mort, et un masque se colla de force à son visage gris. Le cri était à présent étouffé, mais son père n’était plus humain. Quelque chose en lui s’était brisé.  Deux années plus tard, Juzo apprenait peu à peu à se servir de son pouvoir. Ce dernier lui avait servi pour se battre mais aussi pour se défendre dans quelques situations délicates. En somme, Juzo vivait heureuse dans la demeure familiale.

    Mais, un soir, alors que les deux femmes prenaient une tasse de thé devant une fenêtre, en parlant du bon vieux temps, la même sensation  qu’il y a seize ans reprit la mère.  Elle se leva d’un coup, pria Juzo de partir se cacher. Sa fille se coinça dans un placard, et observait la scène grâce à l’ouverture des deux portes. Un masque osseux sur une personne ayant un trou béant dans la poitrine entra dans la cuisine, se lova contre sa mère. Ce hollow se souvenait du lien affectif qu’il éprouvait pour sa femme, mais la faim avait repris le dessus. Il la dévora, sous les yeux de Juzo. Cette dernière était tellement sous le choc qu’elle n’utilisa pas son pouvoir. Elle pleura sur le cadavre de sa mère, et donna vie à son pouvoir. Le neko prit Juzo par les épaules, la câlina et l’emporta au loin.

    C’était sans savoir, que sa mère s’était faite tuée par son propre père. Et que son géniteur finirait par retrouver Juzo, grâce au lien affectif dont il avait encore un minimum souvenir.


    Fiche Technique


    Pouvoir : Lovecats Elle possède une petite poupée représentant un neko, elle peut lui donner vie, ainsi il grandit, devient plus grand qu'un humain et possède des gants munis de griffes au bout.
    Présentez-vous

    VOTRE PRENOM/SURNOM : July
    VOTRE AGE : 16 années.
    EXPERIENCE DANS LE RP : Erf. Ça va faire plus de deux ans que je rp.
    MOTIVATION POUR LE CHOIX DU PERSONNAGE : Erf². Vu qu'il n'est pas inspiré de Bleach, je ne dois pas répondre ?
    DES REMARQUES A FAIRE ? Très beau design, très agréable à l'œil, ainsi qu'une bonne qualité d'expression et une bonne clarté dans la partie "Premier Pas". Juste, quelques petites fautes d'orthographe dans le règlement. Rien de bien méchant.
    COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? Grâce à Rindô qui m'a ramené en me tirant par l'oreille.





Dernière édition par Juzo Asuka le Ven 9 Aoû - 17:20, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Numéro Treize | Juzo Asuka   Numéro Treize | Juzo Asuka EmptySam 3 Aoû - 5:46

bienvenu a toi :3
ça fait plaisir de voir une autre Fullbringer se pointer au milieu de tout ces Shinigami coincer Very Happy
bonne chance pour finir ta fiche et n’hésite pas a me tenir moi ou même Rindo au courant lorsque tu aura fini Wink bon courage :3
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MessageSujet: Re: Numéro Treize | Juzo Asuka   Numéro Treize | Juzo Asuka EmptyVen 9 Aoû - 17:36

Bienvenue. Un fiche complète ma foi. Quelques petites incohérences avec l'univers Bleach. Mais je demande confirmation à Karin a propos des pouvoirs des Fullbringers avec lesquelles je ne suis pas à l'aise. Mais si j'ai bonne mémoire ils agissent sur le plan humain et astral non? De ce fait tout le monde peut les voir?

Ensuite, à moins que la mère de Juzo ai eu une âme sensible aux énergies spirituelle, ce qui est fort possible car plusieurs humains l'on, type Don Kanonji (Franchement je viens de te souiller là xD), elle ne devrait pas être capable de voir un Hollow. Et encore beaucoup ne discerne qu'une masse transparente floue.

Et dernière chose, l'âme du père n'est pas à l'intérieur de la tombe, enfin pas s'il avait des regrets liés à sa famille. Il aurait été près d'eux, dans la maison. Et pour sa transformation le corps continu de pourrir, c'est l'âme qui se change.

Compte tenu que tu ne connais pas ce manga je t'apporte ces précisions. J'ai néanmoins pris un immense plaisir à te lire, ta qualité ne change pas, quoi que plus... conséquente que là où nous nous sommes connu^^


Puisque le personnage contrôle son fullbring, sans pour autant combattre encore avec visiblement, je la classerais parmi les humains en découverte de pouvoir a 300 points.
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MessageSujet: Re: Numéro Treize | Juzo Asuka   Numéro Treize | Juzo Asuka EmptyVen 9 Aoû - 21:39

Le fullbringer fonctionne en manipulant l'âme des objet pour en modifier la structure, la masse ... le Fullbring présenter ici est tout a fait faisable et .. et J'AIME LES CHATS !!! *O* .. hum hupm .. pardon .. oui donc je valide ta fiche a 301 points d'Xp pour une fullbringer en découverte de pouvoir :3
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MessageSujet: Re: Numéro Treize | Juzo Asuka   Numéro Treize | Juzo Asuka Empty

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